L'étymologie gréco-latine nous apporte quelques clefs et l'histoire

de notre culture judéo chrétienne ouvre quelques pistes, mais

sont-elles suffisantes ?



S'ils sont encore en vie, interroger les parents, grands-parents et

leur faire raconter ce qui a dicté leur choix et QUI a vraiment opté.



Se souvenir aussi que le ou la déclarant(e) à l'Etat-Civil a pu,

délibérément choisir de donner un prénom, semble t'il "au hasard"

sans tenir vraiment compte des décisions arrêtées "en famille" !



Ne pas ignorer non plus les événements historiques vécus

au moment de la naissance.



Dominique. Pris dans l'actualité du moment, ignorait-il que

l'étymologie latine signifie "voué, consacré au Seigneur"

au masculin ? Homme cultivé, j'en doute.



Le "mauvais esprit" qui m'anime me souffle deux verbes, dont le

second en argot des cités...Vous imaginez lesquels.



Quant à la forme féminine, héritée de la même origine "domina" :

(maîtresse, souveraine) il convient de noter que l'édifiante

vocation reconnue à la Sainte, originaire de Campanie, était d'être

soumise au Seigneur et pour finir en Son Nom, martyre...



Le Saint, quant à lui, castillan d'origine, prônait notamment la

simplicité, la pauvreté, la pénitence...



Comme aurait-dit ma grand'mère avec un certain sourire :

"Quand on connaît ses saints*, on les honore.)



Tous ne sont pas pour autant des saints clairs ...



Toujours être prudent avec les évidences et cependant

continuer à creuser le sens et à écrire...rien que pour se bien

connaître, en profondeur ...



Nous sommes tous "présumés innocents". Gardons-nous donc des

interprétations sauvages... Et des "jugements téméraires" ...















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