Je fuis et je m'accroche à toutes les croisées

D'où l'on tourne l'épaule à la vie, et , béni,

Dans leur verre lavé d'éternelles rosées,

Que dore le matin chaste de l'Infini

Je me mire et me vois ange ! et je meurs, et j'aime

- Que la vitre soit l'art, soit la mysticité -

A renaître, portant mon rêve en diadème,

Au ciel intérieur où fleurit la Beauté !