HIER
Hier
le rêve m'a fui dans le sommeil des chimères
j'ai imaginé un baiser d'amour
sur un sein galbé de battements sincères
et de souffles coupés
hier, le rêve m'a dit que ton coeur existe
au dessus des montagnes
aux cimes dénudées
hier, le rêve est venu recomposer
mon texte en promesse certaine.
Je t'aime
à en perdre haleine
sur les chemins mouvants de tes cils
à rester figé
comme roche posée
sur le socle véreux du silence
à mourir
dans les caresses creuses de tes éclats
à respirer enfin
le souffle de l'attente
à ressusciter les insultes de l'âge
pour panser les plaies rebelles
de mes suppositions.
Je suis parti un jour de soleil
glaner les orages pour irriguer
les restes de tes larges déserts
en moi
se détruisent tes monuments
en moi
se calcinent
les dernières racines de la raison.
Abdelhamid Laghouati (Poète algérien)
CARPE DIEM Emphyrio:la vie est devant toi...
Sans effet-haine, que tu laisses au F.N..
Je me sens désormais "à cou vert" ;-))
Sans risque de m'enrhuBer ...
Atchoum !!!
C fou..TU ...
Je souhaite de tout coeur que tu puisses te le procurer...
Merci pour ton enthousiasme...il a été le mien dès la première lecture debout dans cette immense bibliothèque, et le monde n'existait plus autour de moi...te rappelles-tu comment nous étions enfants lorsque nous rentrions dans un livre...?
L'enfant a grandi, elle a gardé cette part de magie...
Sans pis, tant mieux...
Merci en corps, par coeurs !...
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