Dans un village vivait un homme avec une grande barbe blanche, il s’habillait avec une tunique longue et blanche qui lui arrivait jusqu´aux pieds. Ses chaussures ressemblaient à celles des romains. Ses doigts et ses ongles longs se faisaient voir au travers de ses sandales à trois cordes. Tous les matins un rayon de soleil le réveillait en rentrant par la fenêtre et en lui donnant un bonjour bien illuminé dans son visage triste et malheureux.

C’était un peintre qui se destinait à faire des cadres, d´où toute son imagination il la formait avec des coups de pinceau.

Presque tous les matins une colombe se posait au bord de la fenêtre en attendant un peu de pain sec en échange d´un peu d´information du monde.

Pauvre Peintre Michel, la solitude et son passé ne le laissait pas libre.

Il déjeunait d´un verre de vin, que d´un seul coup il buvait en laissant le verre sur une table de bois, mais aussi un couteau pour couper le fromage et le pain dur de la veille.

Un lit se met de quatre briques dans chaque côté, le matelas quand il se couchait était léger comme les nuages du ciel, en s'écroulant jusqu'au fond comme d'un sommeil il se fréquentera.

Durant la nuit un pinceau s'est éveillé du verre d'où il était, et il a commencé à danser comme s'il s'agissait d'un largarto agile et joueur, se promenant dans la salle et regardant qu’un cadre était couvert avec un drap. Toute la curiosité de se pinceau fut d’aller regarder ce qu´il y a derrière ce cadre. Il avance lentement, tout doucement et il enlève d´un seul coup ce drap, il reste surpris de la beauté...une femme peinte et un bébé dans les bras de cette femme.

Il regarde cette beauté de cadre et il décide de s’éloigner de lui. Mais il écoute un shh!, shh, il commence à trembler car il avait peur. Son coeur commence à galoper comme un cheval, reste immobile. Les gouttes de sueur commencent à tomber lentement du front sur le sol en bois. Le tour est donné et il voit, l'enfant qui était dans le bras qu'il lui disait qu'il n'avait pas de peur qui était, et qu'il aurait à lui donner un secret que le Miguel peintre avait comme gardé.

Il s'approche lentement vers le carré et d'un seul coup se sent avalé par, et en entrant dans un lieu que personne n'imaginerait qu'il existait. C'était un jardin plein de femmes et d'enfants en battant le pavé, avec des sacs de bonbons et de biscuits de chocolat.

L’enfant du carré lui dit, tu lui dis probablement à Pintor Miguel que son épouse et moi l’attendons et que je suis son fils.

Au jour suivant le pinceau savait qu'il aurait à abandonner le Peintre parce qu'il devait partir avec son épouse et son fils dans un lieu appelé un Paradis.

Le temps n'a passé dans cet attique plein d'imagination et de couleurs et jamais personne n'a su où le peintre Miguel était.

Ange 2010

Un grand et doux remerciement pour ce texte , que je ne peux que remettre ici...


Et avec en plus ....cette photo interdite sur FB....Et oui...Censurée...!!!