Et oui, ce lundi matin je ne pouvais que vous faire passer cette bonne nouvelle...Une de plus ici...



Après un week-end exceptionnel; je vous raconterai cela en détail plus tard...travail oblige ...!!!



Je vous présente " L'âge de faire" de novembre...

Le numéro 47 et oui...déjà 4 années...Merci à tous ces travailleurs

de l'édition...Une réussite totale que je suis depuis le départ...!





Le journal / Pourquoi ?

jeudi 4 novembre 2010,

La liberté de tout dire n’a d’ennemi que ceux qui veulent se réserver le droit de tout faire (Marat)

Pour combler un vide
Il n’existe pas de journaux indépendants adaptés et facilement accessibles au GRAND PUBLIC sur le créneau de l’écologie au sens large. La demande est donc méconnue et non satisfaite.

Pour faire face à une situation sans précédent

L’existence d’un faisceau de faits écologiques graves dont la convergence mène à l’extermination du monde vivant.

Le tissu social s’effiloche, la déprime gagne, des situations intolérables de misère se pérennisent, malgré l’abondance.

Les écarts se creusent avec les pays pauvres.

Il faut à la fois alerter et dire que des solutions existent, les expliquer et montrer leur faisabilité.

Pour défendre la démocratie
La puissance des lobbies et des firmes transnationales grignote le pouvoir des Etats au nom du libéralisme économique. Les médias populaires à la solde des maîtres du monde s’en donnent à cœur joie dans l’abêtissement et la désinformation. L’opinion est manipulée. Les pouvoirs institutionnels sont, c’est selon, complices ou impuissants. Le champ est libre pour normaliser selon les seuls critères économiques.

Pour créer un pont entre militants et grand public
Le monde associatif, très actif mais aussi dispersé et cloisonné, produit beaucoup d’informations très documentées, qui restent pour l’essentiel ignorées du grand public. Débats, réunions, journaux sont faits par des militants pour des militants. Les portes sont ouvertes certes, mais le grand public ne vient pas.

Pour être artisans de notre avenir
La situation de crise n’est pas le fruit du hasard. Elle est l’aboutissement normal d’une société dont les individus ont peu à peu démissionné et sous-traité leurs responsabilités et par-là même leurs droits. L’issue ne peut être qu’une reprise de pouvoir par une reprise de responsabilité. Il nous faut entreprendre pour retrouver la maîtrise de notre futur gravement menacé. L’adhésion à ce projet est une étape et le journal un outil. La culture, à la fois libératrice et porteuse de sens, en est un autre. Etre acteur, découvrir ses propres talents dans la convivialité plutôt que consommer du show-biz.


http://www.lagedefaire.org/