Photographier, porter l'appareil à l'oeil, c'est un geste violent !

Réflection de R. Depardon que j'ai relevé dans le dernier r"éponse photo"

Autant il n'avait aucun mal à photographier une vedette, autant l'idée de photographier un inconnu dans la rue le paralysait.

Sensation que je partage totalement. Quand le modèle est consentant et se prête voire participe au travail du photographe, cela est relativement facile.

C'est une autre paire de manches que de faire un portrait d'un quidam.

Se conduire comme un "chasseur de têtes" et photographier sans autorisation préalable de l'interressé peut être ressenti comme une agression. Je l'ai constaté à mes débuts avec toute ma maladresse de novice.