Mordre dans la solitude de la poésie

est l’acte de non retour



Plus que les souvenirs noircis sous les ongles de l’enfance

Plus que les langues molles et les dents gélatine de la junk food



On peut dormir cent temps de belle au bois

On peut danser tous les pas de deux imaginables



Les fumées se dissipent toujours

Les alcools font la gueule de bois



Un matin, on ouvre les yeux

La peau est là, qui attend les signes à l’encre